Posté le: 18.05.2008, 17:09:26 Sujet du message: Deblicker, c'est fini !
Une semaine avant le début de Roland-Garros, le n°1 français Richard Gasquet a annoncé samedi qu'il mettait fin à sa collaboration avec son coach actuel, Éric Deblicker. Il a choisi de s'entraîner désormais avec Guillaume Peyre au sein du Team Lagardère. «Éric reste un ami et celui qui m'a aidé à entrer dans le Top 10», a déclaré le Biterrois dans un communiqué. Gasquet, qui a gagné dix matches et en a perdu neuf depuis le début de la saison, reste sur deux éliminations au premier tour, au Masters Series de Rome et de Hambourg.
La question est de savoir, maintenant, si le choix du nouvel entraineur sera le bon ...
Qui connait ici Guillaume Peyre et pourrait nous en parler un peu ?
guillaume peyre fut l'entraineur de marcos bagdatis il me semble enfin bon je pense que ce changement peut permettre a richard de sortir de cette spirale négative actuelle
C'est triste! Richard sans Deblicker c'est plus pareil.Tant de bon souvenirs.
Je connais rien du nouveau coach, alors patience avant de juger. Ceci dit j'avais un faible pour Larry Stefanky, mais il est deja pris.Peut-etre la prochaine fois!
Deblicker devrait aller coacher Murray, lui aussi reve du top 10 et du Master!
Inscrit le: May 30, 2007 Messages: 327 Localisation: Bordeaux
Posté le: 18.05.2008, 17:28:21 Sujet du message:
enfin !!!içl smblerait qu il nous ait ecouté
bon apres recherche sur ce guillaume peyre,qui a été coach de baghdatis
"Ancien joueur classé 1/6 à 19 ans, Guillaume Peyre a très rapidment décidé d'être entraîneur. Il a été repéré par Patrick Mauratoglou qui recherchait un entraîneur pour son academie.
A Thiverval il a plus spécialement suivi le suisse Séphane Bohli, avant d'être affecté à Marcos Baghdatis. Après leur séparation au printemps 2004, il a momentanement quitté l'academie pour rejoindre la federation tunisienne. De retour cher Mauratoglou en juillet 2005, le chypriote lui demande de revenir dans son clan 2 mois plus tard. Originaire d'Avignon, Guillaume Peyre (32 ans) loge parfois son "poulain' chez lui. Camille, sa belle-fille, est la petite-amie de Baghdatis."
Et ben c'est pas trop tôt. Ca fait deja quelques temps qu'il aurait dû le faire. Maintenant je lui conseille de se prendre entre 6 mois et un an à faire un break parce que j'ai l'impression qu'il n'a plus la passion. A jouer tout le tps et depuis son plus jeune âge, je crois qu'il a raté certaines période sde sa vie et faut qu'il se lache un peu. Un an de fêtes et hop on revient plus serein, plus motivé et on déchire tout.
Ce changement est une bonne nouvelle ça prouve que Richard ne compte
pas abdiquer. Ce nouvel entraineur n'a pas l'expérience d'un Deblicker mais
il a la jeunesse pour lui, on verra bien si c'est un choix provisoire pour finir l'année...
Je sais pas trop quoi en penser, Haillet disait de Deblicker que c'était quelqu'un de bien pour Richard, Guillaume Peyre je ne connais pas mais on verra.
L'impression plutot positive que ça laisse c'est que surement Richard souhaite reprendre depuis zéro et redécouvrir le tennis à travers un regard et une évaluation neuve.
Avec un nouvel entraineur il y a toujours des choses qui changent qui se remettent en question et même si c'est pas le coup de foudre sur le terrain, j'espère que ça permettra à Richard d'en apprendre davantage sur son tennis et sur ses motivations.
Bravo Eric, les masters 2007, 7eme au classement, c'est déjà un évènement qui marque la jeune carrière de Richard.
Alléluia enfin il change d'entraineur c'est pas trop tot enfin une lueur d'espoir pour roland garros et peut etre sa carrière enfin il décide de virer debliker qui avait l'air aussi perdu que lui pour moi ce changement d'entraineur est de très bon augure meme si je ne conai pas très bien son nouvel entraineur et mem pas du tout et pour finir je ne suis pas sur que ce soit très judicieux d'avoir pris un entraineur du team lagardère enfin bon deja il a changer d'entraineur c'est très bien davi richie vainqueur à roland
Guillaume Peyre Nouvelle Nounou?
Mais avec pas mal de psychologie apparement
GUILLAUME PEYRE, le coach de Baghdatis, raconte son association haute en couleur avec la révélation du tournoi.
MELBOURNE –
de notre envoyé spécial
« J’AI COMMENCÉ À TRAVAILLER avec Marcos en octobre 2002, alors qu’il était encore junior. Nous étions aussitôt partis disputer un tournoi satellite en Suisse, en passant par les qualifications. Il avait la réputation d’être un peu fainéant, mais il avait gagné l’étape en battant des gars comme Wawrinka ou Ascione. Il jouait déjà tous les matches à fond, avec beaucoup d’enthousiasme. On est tout de suite parti du principe que le meilleur entraînement, c’était les matches, puisqu’il les disputait à 250 %. Il ne mettait que dix minutes pour avoir une sensation sur une nouvelle technique, alors ce n’était pas la peine de faire des gammes de 250 revers croisés. Cela dit, il adore la défonce physique à l’entraînement ! Il faut que ça sue… Au travail, quand il accroche avec un truc sensé pour lui, il y va à fond. S’il pense que c’est stupide, il ne le fera pas. Il n’y a jamais de vérité avec lui. Il ne faut pas l’enfermer dans un schéma où il ne s’épanouira pas. Sur ces bases-là, on a vécu une première année de dingue en enchaînant les matches. Il avait gagné cinq tournois Future, et parvenait au minimum en quart des épreuves auxquelles il participait. Il m’a vite surpris. À un moment, il gagnait un peu moins, et d’un coup, il se met à battre Canas 6-2, 6-2 à Séoul en Challenger. C’est là que j’ai commencé à me dire : “Il y a quelque chose d’incroyable chez lui…” À la fin de l’année 2003, il est 170e mondial et champion du monde juniors. Il gagne l’Open d’Australie juniors, mais il souffre d’une pubalgie. L’intensité n’était plus là. La décompression était énorme. Lui me disait que je le poussais trop, et moi, je lui répondais qu’il fallait qu’il arrête de déconner. Il avait dix-huit ans et ne voulait rien entendre. Dix-huit ans… On a dû se séparer avant Roland-Garros 2004 après une explication orageuse dans une chambre d’hôtel en Slovaquie. Ça m’a rendu malade. Mais plus d’un an après, en septembre dernier, après l’US Open, il m’a rappelé. Il était au fond du trou. On recommence à Orléans fin septembre, dans un Challenger où il atteint les quarts de finale en ne jouant pas très bien. Il avait des problèmes personnels avec son ancienne copine. »
« Il pleurait sans cesse »
« Vous ne pouvez pas imaginer comment on a galéré. À Hô-Chi-Minh, il perd en qualif’ contre le 800e mondial (l’Américain Jason Marshall)… Il pleurait sans cesse, il faisait vraiment une grosse déprime. Je devais le prendre tout le temps dans mes bras. Je commençais à penser que s’il perdait au premier tour à Melbourne, avec tous les points qu’il avait à défendre (après son 8e de finale de la saison passée), il chuterait au-delà de la 300e place et on n’entendrait peut-être plus jamais parler de lui. Mais on s’est serré les coudes comme des malades. Je lui disais : “Marcos, on te lâche pas. On l’a déjà fait, et on va le refaire.” Et c’est parti. À Tokyo, il pleurait encore tous les jours, mais il a battu Puerta. Ensuite, nous nous sommes isolés chez moi à Avignon. On avait besoin de se retrouver. On a bossé comme des chiens. On est allés disputer le tournoi de Bâle dans la vieille 206 de ma mère complètement défoncée. Et il va en finale après avoir battu Haas et Nalbandian ! Là-bas, Federer disait qu’il était un mélange de Hewitt et Nalbandian. Les mecs hallucinaient de nous voir avec l’assiette du finaliste dans cette voiture pourrie. Pour cet Open d’Australie, tout dépendait selon moi du premier match. Il a battu Gimelstob, puis il s’est arraché pour battre Stepanek qui l’insultait aux changements de côté. Roddick ne lui faisait pas peur. De toute façon, il joue toujours un tournoi pour le gagner. Rappelez-vous notre premier tournoi satellite. C’est pour cela que l’objectif est de gagner un tournoi du Grand Chelem. Ça ne l’empêche pas de rester serein. Marcos est quelqu’un de super généreux, bien élevé. Il est timide, réservé. Son meilleur copain sur le circuit est l’Israélien Dudi Sela. On ne fait pas vraiment partie de l’univers du circuit… »
FRANCK RAMELLA
Ancien joueur classé 1/6 à 19 ans, Guillaume Peyre a très rapidment décidé d'être entraîneur. Il a été repéré par Patrick Mauratoglou qui recherchait un entraîneur pour son academie.
A Thiverval il a plus spécialement suivi le suisse Séphane Bohli, avant d'être affecté à Marcos Baghdatis. Après leur séparation au printemps 2004, il a momentanement quitté l'academie pour rejoindre la federation tunisienne. De retour cher Mauratoglou en juillet 2005, le chypriote lui demande de revenir dans son clan 2 mois plus tard. Originaire d'Avignon, Guillaume Peyre (32 ans) loge parfois son "poulain' chez lui. Camille, sa belle-fille, est la petite-amie de Baghdatis
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