Revue de Presse

[Coquelicot]

Richard s'est vraiment lâché dans cette interview
On apprend qu'il n'a pas de petite amie, qu'il n'est pas homosexuel et qu'il ne serait pas contre l'idée de sortir avec une chinoise...Visiblement l'air de la Chine lui fait le plus grand bien

[sardine]

qu'il précise qu'il n'est pas homosexuel montre que les rumeurs là dessu doivent le toucher. D'ailleurs quand j'ai su que lagardère était allé le soutenir je me suis dit "il peut pas lui lacher la grappe ?! ça va encore relancer les rumeurs"...
et si richard avait été perturbé par cette venue justement ?

[Freedom]

Ou si justement, il est stupide de se priver de son entourage pour des rumeurs à la con ?

Richard est touché par ça, c'est évident, mais je trouve bien qu'il veuille faire comme si de rien n'était, qu'il ne change pas ses habitudes pour une bande d'imbéciles refoulés.

[miss_lillie]

[gwenoul]

[minami]

interview intéressante. Où on voit que les rumeurs l'ont touché.

Naufragé à Roland-Garros, puis éblouissant à Wimbledon, mais déconcertant à l’US Open, Richard Gasquet aura connu une saison riche en rebondissements. Bien qu’entamé physiquement, il sera finalement à Bercy, cette semaine, pour tenter de décrocher l’un des deux derniers billets pour le Masters de Shanghaï.
LE FIGARO. – Comment abordez-vous ce tournoi parisien ?
Richard GASQUET. – C’est un tournoi où le public est très particulier, difficile. Lorsque l’on joue bien, il peut vous porter, mais si on joue mal, comme ce fut le cas pour moi à Roland-Garros, ce n’est pas évident.

Cette défaite à Roland-Garros dès le deuxième tour contre le Belge Vliegen semble vous avoir marqué…
J’avais été mauvais, on ne peut pas dire autre chose. Mais je pense que j’ai appris de cette expérience et c’est pour cela que j’ai bien joué à Wimbledon ensuite. J’ai toujours eu une certaine capacité à rebondir après mes défaites.

Votre collaboration avec Yannick Noah marque une nouvelle étape de votre carrière. Racontez-nous…
C’est une idée d’Éric (Deblicker, son entraîneur, NDLR) et j’ai tout de suite accroché. J’avais vraiment envie de connaître Yannick. On m’avait beaucoup parlé de lui, toujours en bien, et je savais qu’il pouvait m’apporter énormément. Le fait qu’il ait été un très bon capi­taine de Coupe Davis, c’est également important. Il ne pouvait me faire que du bien. Il est très occupé, mais on se parle régulièrement. Il est très positif, d’une grande générosité. Il sait très bien faire passer un message et son expérience du tennis est énorme. Il a un charisme incroyable. Je répète tout ce que l’on sait déjà, mais c’est vrai.

Vous avez situé récemment vos ambitions à la cinquième place mondiale et une finale en Grand Chelem. N’est-ce pas un peu modeste, vu vos moyens ?
Je voulais surtout parler des quelques années à venir. Je pense que je devrais être capable de remporter un Grand Chelem, j’ai déjà disputé une demi-finale. Un jour, il y aura bien une occasion à saisir. Et quand je parle des cinq premiers, c’est pour m’installer, dans un premier temps. Le classement ne me fait pas autant rêver que de gagner Roland-Garros ou Wimbledon.

Roger Federer évoque parfois des points communs entre vous, cela vous inspire-t-il ?
À mon âge (21 ans), il n’avait pas encore remporté son premier titre du Grand Chelem. Évidemment, c’est encourageant pour moi. Je ne sais pas si je vais gagner quatorze Grands Chelems (pour l’instant Federer en est à douze). Si j’en gagne un, je serais très ­heureux.

Justement, votre forfait au deuxième tour de l’US Open, à cause d’une angine, a surpris beaucoup de gens. N’aviez-vous pas envie de tenter le tout pour le tout ?
Ce n’était vraiment pas la peine pour abandonner sur un court ­aussi prestigieux que le Central de Flushing Meadows. Je ne l’aurais pas terminé, ce match. Il faisait chaud, j’étais mort. De nos jours, le 200e joueur mondial (classement de Donald Young qu’il devait affronter) joue très bien au tennis. Je ne regrette absolument rien. Le regard des gens, leur perception, cela m’est égal. Peut-être, cela aurait été différent quand j’avais 18 ou 19 ans. Mais maintenant, je joue pour moi.

Et vous n’avez pas pensé que d’aller voir le match PSG-OM au Parc des Princes trois jours plus tard risquait de donner une fâcheuse impression…
Je ne dis pas le contraire. J’avais de la fièvre, mais c’était quand même PSG-OM. J’y aurais été en chaise roulante. Au final je suis content d’avoir vu le match.

Qui souhaitez-vous voir en février prochain sur la chaise de capitaine pour affronter la Roumanie en Coupe Davis ?
Il n’y a pas une multitude de capitaines possibles. Guy a une bonne expérience. Pour que l’on gagne, il est actuellement le mieux placé, avec Noah évidemment, qui serait fabuleux. En ce moment, les joueurs disent tout et n’importe quoi. Je ne suis pas totalement d’accord pour que le 50e mondial, qui n’a jamais joué, donne son avis sur le capitaine, dise qu’il est mauvais. Ceux qui peuvent avoir voix au chapitre, ce sont des Paul-Henri Mathieu, Arnaud Clément.

Pourtant après le match contre la Russie, un différend vous avait opposé à Guy Forget…
Nous nous sommes parlé. Nous sommes de grands garçons. Il sera sur la chaise en février. C’est ce que je souhaite aujourd’hui et j’ai de bons rapports avec lui. Il y a juste quelques détails à changer ; on est un peu nombreux dans l’équipe, je crois. Mais je ne suis pas pour que les entraîneurs privés débarquent dans l’équipe. Ils doivent être là, mais pas intégrés à l’équipe, parce que ce serait vraiment trop dur.

Comment avez-vous vécu la rumeur qui faisait de vous l’amant d’Arnaud Lagardère ?
Quand j’allais au restaurant, je voyais les gens chuchoter autour de moi. On posait des questions à mes amis. Il y a même une fille avec laquelle j’étais sorti qui a annoncé à Gaël Monfils que j’étais homo. Du coup, je l’ai rappelée pour lui dire «quand même, s’il y a bien quelqu’un qui devrait savoir...» Mais elle était convaincue que j’étais bi. Tout cela a pris des proportions exagérées, c’était l’enfer, et cela ne m’a pas amusé du tout.

[Oksana]

Perso les medias cassent les couilles de tout le monde et encore plus des personnes qui jouissent d'un peu de notoriete, la meilleure solution reste l'indifference.

Clairement Richard a eut raison de ne pas aller se faire eclater face au 200e et de faire abstraction de l'epreuve ce qui mine de rien la quant meme ammener a participer pour la 1ere fois au master. Surtout quand on voit de quelle maniere les gens ont reagit apres sa defaite a Rolland.

Apres aller voir un PSG - OM (moi meme j'y etais etant un abonné du Parc) je ne vois pas le souci surtout qu'il pouvait se le permettre, moi il faut que je sois sur mon lit de mort pour ne pas aller au match. Par contre j'espere qu'il est plus parisien que marseillais

[Marcus]

Ca ne m´amuse pas de voir des réactions très privées de RG dans la presse(pourquoi on parle de homosexualité, il ne donne pas cette impression), je ne crois pas que les choses comme ca sont positives pour son tennis et les journalistes n´ont rien dans son monde privé à faire, d´ailleurs c´est le temps qu´il trouve une bonne petite amie du sud de la France d´où il vient, c´est tout qui est necessaire pour un bon futur et arreter ces discussions.

[kirua]

Je ne cautionne absolument pas les rumeurs lancées dans la presse sur la vie privé de Richard (homosexualité par exemple), et des sportifs en général, mais par contre les journalistes sportifs ont tout à fait le droit de critiquer Richard sur ces performances sportives, en respectant bien-sur la personne.

Donc je ne vois pas où est le problème avec certaines critiques emises suite à son forfait de l'US Open, j'étais personnelement d'accord avec la plupart d'entres elles (je ne parle pas des "Richard gasquet est un loser, il n'arrivera à rien" etc...).

Un sportif de haut niveau doit savoir accepter les critiques, ca fait partie de son métier.

Et pour finir je crois qu'il ne faut pas trop se plaindre de la virulence de la presse sportive en France, dans d'autres pays (Espagne, Italie, Angleterre..) les journalistes sont largment pire.

[Coquelicot]

Il faut différencier les critiques sur le jeu de Richard et les rumeurs sur sa vie privée.

A propos des rumeurs, on ne sait jamais d'où elles viennent. En général elles ne viennent pas des journalistes...Vous voyez un journaliste de l'Equipe, de Tennis Magazine ou de France 2 lancer une rumeur sur la vie privée de Richard ? Personnellement, non. PArfois, ile peuvent involontairement relayer une rumeur, mais ils n'en sont pas à l'origine. D'ailleurs, rien que le fait de poser une question sur une rumeur, c'est une façon de relayer cette rumeur. Mais à ce moment-là, je suis moi-même en train de propager une rumeur en en parlant. Internet est d'ailleurs un outil redoutable pour lancer une rumeur ou la propager à grande vitesse.

A propos des critiques sur le jeu de Richard elles sont légitimes,chacun ensuite est libre de les partager ou non. Concernant le forfait de Richard à l'US Open, les critiques venaient surtout de la presse américaine qui s'étonnait que Richard fasse une conférence de presse pour dire qu'il n'avait pas la force de jouer un match. Et le fait que 3 jours plus tard il assiste à un match de foot n'a pas arrangé les choses.
Le rôle de la presse n'est pas de brosser les joueurs dans le sens du poil ou d'être les attachés de presse des joueurs, leur rôle c'est de commenter leurs performances et d'être critiques s'ils le jugent nécessaire. Chacun est à sa place

[Oksana]

Donc qu'est ce qui est le mieux, se manger un "il se retire de l'US Open car il est soi disant malade", ou un "il s'est fait eclaté par le 200e mondial en 3 sets car il est malade" ???

C'est ce que j'appelle un bon choix.

[magui92]

attention mesdames et messieurs fans avides de découvrir une trace de notre chouchou dans la presse...
richard figurait aux mots croisés du 20 minutes aujourd'hui !
si ça c'est pas une preuve de notoriété !?

[gwenoul]

[vincho2]

J'adore la phrase de Francis sur Richard en train d'écouter du rap !

De lemonde.fr :

"La scène est insolite : une dizaine de sportifs de haut niveau étaient réunis, mardi 4 décembre, dans un amphithéâtre de l'Institut d'études politiques (IEP) de Paris, plus connu sous le nom de Sciences Po. A leur programme, pas encore de leçons, mais la participation à une opération de communication organisée sous l'égide d'Arnaud Lagardère, l'industriel propriétaire du groupe du même nom, qui lançait, en partenariat avec la prestigieuse école supérieure, une formation spécialement concoctée à l'usage de ces athlètes et de quelques autres. "Du sur mesure", selon les mots du directeur de l'IEP, Richard Descoings.
La formation, qui n'est ouverte qu'aux sportifs sous contrat avec l'une des structures d'Arnaud Lagardère (le Team Lagardère ou le Lagardère Paris Racing), "s'apparente en quelque sorte à une formation continue qui serait faite avant la formation classique", poursuit M. Descoings. Concrètement, les 17 athlètes retenus pour la première promotion doivent valider, à leur rythme, au gré des possibilités laissées par leur emploi du temps, un cycle en trois temps ("initiation, approfondissement, perfectionnement") qui leur permettra de postuler pour intégrer l'un des masters délivrés par l'IEP. "Ils devront alors se soumettre aux mêmes règles de sélection que les autres", explique M. Descoings.
Parmi les membres de cette première fournée de sportifs-étudiants, la vedette est Richard Gasquet, le numéro un du tennis français, âgé de 21 ans. En ce mardi, absent, il a eu droit à un mot d'excuse de son père, Francis, lui, bien présent. "Il ne faut pas croire que Richard travaille autant. C'est très léger", s'est-il amusé, après la présentation du programme de formation de son fils. Avant d'expliquer, à sa manière décontractée, la genèse du projet : "J'avais décelé un vide, chez Richard, qui avait arrêté ses études. Un jour, je l'ai entendu écouter un morceau de rap, alors on s'est dit qu'il fallait faire quelque chose."
Arnaud Lagardère, en patron, voit dans ces étudiants une chance pour les entreprises : "Le sport est la meilleure école. Lorsque je choisis un collaborateur, je ne regarde jamais son diplôme, mais qui il est." La ligne universitaire ajoutée au curriculum de ces sportifs amènera aussi une ligne aux revenus de Sciences Po : la formation, payée par la Fondation Lagardère et par des sponsors, coûtera près de 300 000 euros par an. "Ce sont des étudiants à haute contribution", convient M. Descoings."

[kurata]

Tu aimes cette phrase, moi je ne l'aime pas. Je trouve qu'il y a pas mal de sous entendu derrière cette phrase genre parcequ'on écoute du Rap, on devient décadent, comme si le rap c'était le mal... Je précise qu'en ce qui me concerne, je n'aime pas le rap, mais de là à penser que le rap c'est la lie, meme si j'admets que le style gangsta rap qui fait l'apologie du fric provenant de la drogue, la violence, et la frime avec grosse bagnole and co, avec des gamins qui vont avoir des gangsters comme modèle, c'est pas terrible.
Après, ça dénote une certaine présence vis-à-vis de son fils et de son éducation et ca, c'est tout à son honneur. Et puis des études, meme si je concois que ca doit etre très dur quand on a une vie de sportif professionelle ne pourra lui être que bénéfique à l'aulnes de la fin de sa carrière de tennisman pro.
Après, 300 000 euros à l'année ca me semble hyper chère pour les peu de cours que les sportifs suivront.Bref, Sciences Po s'en mets pleins les fouilles pour un nombre de cours qui sera proportionel à l'inactivité sportive. Et puis l'absence de Richard à cette rentrée semble montre qu'il parait peu concernée par ces cours alors même que nous sommes hors saison. Qu'en sera t il alors en plein milieu de la saison de tennis ???
Donc à mon avis, cela semble un peu de la poudres aux yeux, Lagardère donne 300 000 euros par eleves à l'ecole pour qu'elle distribue des diplomes à la fin de l'année à ses sportifs...